Dans le cadre de sa parution de Février 2020 intitulée «Défaire ce qui défait», L'Action nationale propose à ses lecteurs d'en apprendre davantage sur le Fonds indépendantiste du Québec. Vous trouverez ci-dessous un extrait du texte proposé aux abonnés. Si vous désirez en faire une lecture complète, nous vous invitons à encourager L'Action nationale en commandant le numéro de février pour la modique somme de 12$ avant taxes.
Accumuler une réserve d’un million de dollars et financer des dizaines d’initiatives citoyennes et non partisanes visant la promotion de l’indépendance du Québec chaque année : voilà l’objectif que trois jeunes indépendantistes veulent réaliser d’ici une décennie.
Le Fonds indépendantiste du Québec, ou « FIDQ », a été fondé le 1er décembre 2019. Pour la petite histoire, il s’agit d’une division de l’Association des joyeux amis du Québec, un organisme à but non lucratif fondé en 1997 par François Leblanc, Jacques Binette et Marc De Repentigny ayant pour mission d’organiser des activités mettant en valeur la fierté d’appartenir au Québec, ainsi que de fournir aide technique et financement à tout groupe ou individu souhaitant organiser des évènements patriotiques. À l’époque, les « Joyeux amis » bénévoles organisaient notamment la Fête nationale dans l’est de Montréal. En décembre 2019, les fondateurs nous ont transféré les pouvoirs administratifs de l’organisation. Toujours bénévolement, c’est avec fierté que nous poursuivons aujourd’hui la mission de l’organisme, de façon renouvelée.
Plutôt que de centrer notre action sur l’organisation de la Fête nationale, nous avons mis sur pied ce que nous souhaitons voir devenir un équivalent d’Investissement Québec, mais pour financer exclusivement des projets de promotion de l’indépendance du Québec, sans être associé à quelque parti politique que ce soit.
Les critères de sélection des projets sont simples: les initiatives doivent être non partisanes, c’est-à-dire qu’elles doivent être issues de la société civile ou d’organismes indépendants des partis politiques; les projets doivent, de préférence, se faire dans un but non lucratif – en des cas où il y aurait des profits, le Fonds doit obtenir une participation aux bénéfices en échange de son financement, lesquels seront réinvestis dans la mission du Fonds. Enfin, les demandeurs doivent illustrer comment le projet sort des sentiers battus, parce que le capital du FIDQ doit être utilisé principalement pour convaincre des personnes indécises, et non pour prêcher auprès de publics convaincus. Lire la suite…